mercredi 15 avril 2009

Quand c'est pas le temps, c'est pas le temps

J'ai moins de travail de ce temps si. J'en profite pour reprendre le temps que j'ai mis de coté dans les derniers rushs. J'avais prévu partir tôt cette après midi pour aller rouler, mais à la derniere minute un visionnement se glisse dans mon horraire et bloque mon après midi. J'arrive quand même a couper ça court et partir du traval ver 15h30 pour aller rouler.

Après 5 kilomètre mon pneu arrière me semble mollasse. J'y jette un coup d'oeil et je me rend compte qu'un sac de plastic est complètement enrouler autour d'une de mes pulley de dérailleur. Ça m'a pris 15 minutes pour l'enlever. Quand je repart, je me rend compte que mon pneu arrière est completement dégonflé, fuck, je l'lavais oublié celui-la.

En le regonflant je gaspille 2 bonbonne de co2. Je ne réussi qu'a mettre une vingtaine de livres d'air. Fuck.. ma ride est finis.. pu d'air dans le pneu et plus de co2... Je roule 1 km jusqu'a un magasin de vélo pour gonfler mon pneu et je retourne à la maison, faché d'avoir gaspillé un après-midi de congé. Je pense que le cosmos m'envoyait un message... C'était pas de ma destiné de rouler cette après midi.

2 commentaires:

Philippe a dit…

Morale de l'Histoire.. tjrs avoir une pompe sur soi! ah ces ti vieux là, faut toutes leur dire ;)

Véronique Meunier - Triathlon a dit…

Bof, c'est toujours un peu comme ça en début de saison: on gaspille le CO2, mais ça revient vite.
Une pompe à main... j'ai jamais été capable de mettre assez de pression pour gonfler un pneu de route avec ça; à moins d'être accompagnée d'un autre gars qui pompe à ma place, ahaahah!